Pourquoi ? (bis)
Pourquoi, quand un virus passe,
Chacun de son coté se dépasse,
Pourquoi t’enfermer dans ta carapace,
J’ai besoin d’un écrit même fugace.
Pourquoi ?
Pourquoi ? Je me souviens de nos mots,
Qui essayaient d’égayer tous tes maux,
Qui sauvaient notre vieille amitié,
Ne doit pas se vivre qu’à moitié.
Pourquoi ?
Pourquoi dois-je faire des rappels,
Où une prière sous ton autel,
Même si je sais tes passes difficiles,
Connaissant l’espace de vos domiciles.
Pourquoi ?
Pourquoi, en ce déconfinement,
Résonnent mes aboiements,
Pour pouvoir jouer avec tes mots,
Et voir enfin tes sourires en promo.
Pourquoi ?
Pourquoi ne pas changer d’air,
Et décrire où d’écrire tes éclairs,
Je t’adresse un peu de mon humour,
Qui se joint pour vous à vos amours.
Mais en rappel : Pourquoi ?
Pourquoi aujourd’hui encore te taire ?
Pourquoi ne plus faire de commentaire ?
Pourquoi ne plus faire tes écrits ?
Pourquoi ne plus pousser tes cris ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne plus dire ta tristesse
Ou pire, des histoires de fesses ?
Pourquoi nous enlever ta tendresse
Pour nous laisser dans la détresse ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne veux-tu plus sourire
Et nous emporter dans tes délires ?
Pourquoi ne plus nous dire « Je t’aime »
Dans tes nombreux et jolis poèmes ?
Pourquoi ?
Pourquoi si tu te sens morose,
Te dire : Recommence et ose ?
Pourquoi suis-je privé de message
N’ai-je pas été assez sage ?
Pourquoi ?
Pourquoi nous laisses-tu dans l’attente,
Sans avoir eu de mésentente ?
Pourquoi, quand un virus passe,
Chacun de son coté se dépasse,
Pourquoi t’enfermer dans ta carapace,
J’ai besoin d’un écrit même fugace.
Pourquoi ?
Pourquoi ? Je me souviens de nos mots,
Qui essayaient d’égayer tous tes maux,
Qui sauvaient notre vieille amitié,
Ne doit pas se vivre qu’à moitié.
Pourquoi ?
Pourquoi dois-je faire des rappels,
Où une prière sous ton autel,
Même si je sais tes passes difficiles,
Connaissant l’espace de vos domiciles.
Pourquoi ?
Pourquoi, en ce déconfinement,
Résonnent mes aboiements,
Pour pouvoir jouer avec tes mots,
Et voir enfin tes sourires en promo.
Pourquoi ?
Pourquoi ne pas changer d’air,
Et décrire où d’écrire tes éclairs,
Je t’adresse un peu de mon humour,
Qui se joint pour vous à vos amours.
Mais en rappel : Pourquoi ?
Pourquoi aujourd’hui encore te taire ?
Pourquoi ne plus faire de commentaire ?
Pourquoi ne plus faire tes écrits ?
Pourquoi ne plus pousser tes cris ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne plus dire ta tristesse
Ou pire, des histoires de fesses ?
Pourquoi nous enlever ta tendresse
Pour nous laisser dans la détresse ?
Pourquoi ?
Pourquoi ne veux-tu plus sourire
Et nous emporter dans tes délires ?
Pourquoi ne plus nous dire « Je t’aime »
Dans tes nombreux et jolis poèmes ?
Pourquoi ?
Pourquoi si tu te sens morose,
Te dire : Recommence et ose ?
Pourquoi suis-je privé de message
N’ai-je pas été assez sage ?
Pourquoi ?
Pourquoi nous laisses-tu dans l’attente,
Sans avoir eu de mésentente ?